NEWS & REFLEXIONS

Juin 2011
Juin 2011

 

 

 

 

 

Symptômes et douleurs sur le méridien de la vessie.

 

   

 

 

 

Le méridien de la vessie reçoit l’énergie de l’intestin grêle et retransmet son énergie au méridien du rein.

Le méridien de la vessie part de la partie interne de l’œil et monte sur le front en passant par les sinus frontaux.

Un blocage de l’énergie dans cette région peut donc créer des problèmes des yeux, des glandes lacrymales et des rhinites, sinusites.

Le méridien parcourt ensuite le crâne d’avant en arrière pour aboutir au niveau du cou dans la partie postérieure. A cet endroit des névralgies d’Arnold, des cervicalgies peuvent apparaitre.

Le trajet du méridien se dédouble ensuite le long de la colonne vertébrale. Une branche va se diriger vers les lombaires, l’autre continue vers la fesse.

Cette partie dorsale du méridien est le lieu de douleurs parfois inconstantes et dont la caractéristique est de se promener le long de la colonne vertébrale passant de cervicalgies aux lombalgies et dorsalgies.

La deuxième branche va pratiquement suivre le trajet du nerf sciatique et donner des douleurs à type de sciatalgies.

Aux genoux, les blocages énergétiques donneront des douleurs et gonflements du creux poplité, au niveau des mollets, des crampes et des claquages musculaires puis de la tendinite au niveau tendon d’Achille, enfin des entorses externes et des problèmes du 5ème orteil au niveau du pied.

La vessie est surtout sensible aux nourritures et boissons acides ou irritantes.

Le chlore contenu dans l’eau du robinet et un des plus grands toxiques de la vessie.

La vitamine C en tant qu’acide ascorbique est un autre élément fréquent des pathologies de la vessie.

Il faut ajouter les épices piquantes et irritantes comme le poivre, le piment ou l’ail.

Enfin les pathologies fréquentes du blocage de l’énergie de la vessie se traduisent par des infections urinaires, des problèmes de miction et des incontinences urinaires

Mars 2011
Mars 2011

Les

«chroniques»

       digestives

 

 

 

 

 

 

 

Il s’agit des pathologies chroniques digestives qui touchent des milliers de personnes soignées la plupart du temps avec des « couvercles  qui recouvrent la marmite » au risque qu’un jour la marmite explose.

Ce sont ces pathologies qui dès que l’on arrête le traitement, les symptômes réapparaissent dans les 24 à 48 heures.

Le reflux gastro œsophagien  ou célèbre « RGO » qui signe des barrages énergétiques au niveau de l’estomac, du pylore, du cardia ou de l’œsophage.

Très fréquemment liée à des aliments toxiques irritants, stimulants, ou piquants ; tel que la vitamine C par excès d’agrumes, le café, les épices piquantes (poivre – piment), le tabagisme, les médicaments, les compléments alimentaires mal adaptés, les boissons alcoolisées, le coca cola, les chewing gum, les bonbons.

 

Un élément particulier peut bloquer l’estomac c’est l’allergie à l’élasthanne, fibre nouvelle que le corps à parfois du mal à accepter.

 

Les ballonnements et maux de têtes qui sont souvent l’apanage du pancréas, organe digestif par excellence puisqu’il gère les lipides (graisses) et glucide (sucres). En cause, les graisses animales ou végétales, laitages, huile d’olive, pesticides, chocolat, sucres, bonbons, gâteaux.

 

C’est un organe qui peut rester longtemps en blocage énergétique mais qui peut aussi se réveiller brutalement sous forme de pancréatite chronique, cancer ou diabète. C’est un organe sensible aux toxiques, en particulier aux médicaments et aux chocs psycho émotionnels ou affectifs (deuil).

 

La vésicule biliaire comme le pancréas fait la synthèse des graisses.

A ce titre, elle en première ligne dans les intolérances au lactose donc aux laitages et en particulier aux laitages de vache qui sont particulièrement gras et le plus souvent pollués. L’huile d’olive si elle n’est pas tolérée reste aussi un élément de perturbation et d’intoxication par les pesticides.

 

Au fil des années, cette petite poche qui se trouve sous le foie va épaissir sa membrane, former des boues puis des petits cailloux et enfin un gros caillou qui risque de se décrocher et de créer une pathologie d’urgence. 

Souvent confondu avec ce que l’on nomme la « crise de foie » la cholécystite est la façon de s’exprimer de la vésicule biliaire.

 

L’intestin grêle, lieu de transformation et d’absorption des nutriments est exposé à tous les aliments mal digérés en amont. Il traduit souvent sa souffrance par des lombalgies chroniques et des douleurs de l’abdomen. En fonction de sa qualité de filtre il laisse passer les microbes de la flore ou bien bloque l’absorption des vitamines, oligoéléments ou minéraux. Une douleur bien précise au niveau de l’omoplate du côté du blocage énergétique indique que le méridien est en déplétion.

 

Le gros intestin se manifeste par des constipations, des diarrhées, des lombalgies, des colites, des spasmes etc. c’est un organe très innervé, il est donc sensible à tous les éléments irritants comme le café, le thé, les épices piquantes et irritantes, l’alcool, les pesticides, le stress et les éléments mal digérés en amont comme l’huile d’olive.

Les allergies ou les intolérances au blé et au gluten peuvent créer de véritables pathologies comme la maladie de Crohn ou la  rectocolite hémorragique.

 

Il est important de rechercher et de supprimer la cause de ces pathologies chroniques qui bien que compenser par toute une série de médicaments  endommagent  l’organe en silence, au risque de le voir se réveiller brutalement sous forme de pathologies organiques.

 

La désengrammation en ostéopathie énergétique avec ses tests et ses déblocages énergétiques, est une thérapie de choix pour régler ces problèmes alimentaires et digestifs qui font 80% des pathologies courantes.

Décembre 2010
Décembre 2010

 

              

 

QUESTIONS  

 

      REPONSES

 

 

 

 

 

Question :

Quelles sont les limites de l’efficacité de la désengrammation ?

 

Réponse : La désengrammation n’est efficace  que dans les limites des possibilités de récupération biologiques  ou d’adaptation physiologiques de l’être vivant. Tout est fonction de l'énergie disponible et de la qualité cellulaire. 

 

 Question : Quelle est son rapport à la médecine  allopathique ? 

 

Réponse : L’allopathie est une médecine de « forcement biochimique » qui oblige le corps à s’adapter puis à créer une pathologie de décompensation.

 

Exemple : Un des médicaments les plus importants de la pharmacopée : la cortisone

 

Le corps produit 10 à 15 milligrammes de cortisol par jour. Un traitement d’attaque par la cortisone dans une maladie inflammatoire peut atteindre 5 fois la production de cortisol par jour. L’adaptation à long terme fera que les glandes corticosurrénales suspendront la production de cortisol et les pathologies de décompensation se feront jour progressivement dans différents domaines (diabète – muscle – peau – os – croissance – thromboses, etc.)

 

Question : Qu’y à t’il dans les tubes tests réactifs que vous utilisez pour les traitements en désengrammation ?

 

Réponse : Les matières contenues dans les tubes tests-réactifs sont soit des granulés homéopathiques de la matière, soit des transferts optiques de la matière dans de l’eau légèrement alcoolisée, soit des transferts électromagnétiques de la matière dans de l’eau légèrement alcoolisée, soit la matière elle-même.

 

Question : Quel est le but des tests en désengrammation ostéopathique énergétique  (D.O.E.) 

 

Réponse : les tests cherchent à déterminer si les éléments du corps sont en accord avec les structures de régulation du cerveau primaire. Si l'élément est en accord, il n'y a aucun changement dans la mobilité du crâne. Si par contre l'élément n'est pas en accord, le praticien ressent une brusque tension des membranes crâniennes et des tissus du corps en général.


Question : Comment fonctionnent les tubes tests-réactifs ?

 

Réponse : Les tubes tests-réactifs sont posés sur la peau du patient donc dans le champ électromagnétique du corps, le cerveau primaire reconnait les caractéristiques électromagnétiques du produit.

 

 

 

                                                   A suivre  

Novembre 2010
Novembre 2010

La cortisone

 

 

 

 

 

 

C’est l’hormone d’adaptation au stress. Elle est anti-inflammatoire, antiallergique,

immunosuppressive.

 

Elle est secrétée par les glandes corticosurrénales situées au sommet des reins.

Elle est régulée par une hormone hypothalamique : la corticolibérine qui libère au niveau de l’hypophyse antérieure l’hormone adrénocorticotrope ou ACTH.

 

La sécrétion d’ACTH est pulsatile   et obéit à un rythme nycthéméral.

La sécrétion est minimale en début de nuit (ce qui provoque une augmentation du processus inflammatoire pendant cette période).

 

Elle agit sur la synthèse des protéines, donc sur l’os, la peau et les muscles.

 

Elle a une action sur les glucides, les lipides, la tension artérielle, le cœur et le système nerveux central.

 

Si la cortisone est devenue le principal traitement dans un grand nombre de maladies inflammatoires auto-immunes ou allergiques, prise à long terme elle peut perturber sérieusement toutes les fonctions sur lesquelles elle a une action.  

 

Septembre 2010
Septembre 2010

LA DESENGRAMMATION OSTEOPATHIQUE ENERGETIQUE ET LES ENZYMES

 

Le corps humain est une véritable usine chimique. Un grand nombre de réactions chimiques ont lieu chaque seconde.

Les enzymes sont des molécules qui facilitent les réactions chimiques. Elles agissent à faible concentration et se retrouvent intactes en fin de réaction.  

Il existe plus de 3 500 enzymes différentes répertoriées.

Réguler l’activité des enzymes permet de réguler le métabolisme de la cellule.

Les organismes doivent être capables de moduler l’activité enzymatique cellulaire de façon à pouvoir s’adapter aux changements métaboliques. De cette façon, les enzymes peuvent coordonner  les voies métaboliques en réponse à l’environnement.

 

A l’état normal, une petite quantité de ces enzymes passent dans le sang.

Si un organe souffre, un grand nombre de cellules vont « éclater » et libérer dans le sang leurs enzymes.

En mesurant  ces enzymes libérées dans le sang, on peut identifier l’organe touché et connaître le stade de la maladie.

Exemple : Transaminases TGP pour le foie, transaminases TGO pour le cœur  etc.…

 

La mutation des gênes codant pour les enzymes, sont à l’origine des maladies enzymatiques qui sont pour la plupart des maladies métaboliques.

 

En désengrammation,  on peut tester les enzymes en particulier dans les problèmes digestifs et débloquer les barrages énergétiques pour libérer l’activité enzymatique.

On peut également, « booster » l’enzyme en travaillant avec une technique de stimulation afin que celle-ci active les réactions chimiques du métabolisme.

Il est intéressant également de tester puis désengrammer l’enzyme en cause dans les maladies enzymatiques métaboliques.

La technique de stimulation peut permettre de relancer l’activité des gênes en causes.

On peut aussi améliorer les symptômes secondaires à la maladie en travaillant directement sur les structures atteintes.

Juin 2010
Juin 2010

La  thyroïde et les parathyroïdes au secours de l’ostéoporose.

 

 

 

 

 

 

 

Les parathyroïdes, ces 4 petites glandes situées de chaque côté de la thyroïde secrètent  la parathormone ou PTH.

La PTH stimule entre autre la synthèse de la vitamine D, augmente l’absorption intestinale du calcium et la réabsorption tubulaire du calcium.

Une autre substance intervient dans l’homéostasie calcique : la calcitonine qui est produite par les cellules C de la thyroïde.

Son action est de diminuer la déminéralisation osseuse au cours de la grossesse et de la lactation.

Un déficit progressif de cette hormone expliquerait en partie le développement de l’ostéoporose.

La réponse de la calcitonine à une charge calcique augmenterait lors de la grossesse, de la prise de contraceptif oraux et après la ménopause.

Cette augmentation de la réponse de la calcitonine dans ces deux états de la vie génitale de la femme semble montrer que la calcitonine et son action sur la PTH tente de réguler le taux de calcémie au cours de ces deux états particuliers.

 

En conclusion, l’homéostasie permet de compenser les déficits calciques hormonaux au moment de la ménopause et les besoins augmentés au moment de la grossesse.

Mai 2010
Mai 2010


 

Alimentaire

mon cher Watson !! 

 

 

Nous devons scinder la France en 2 régions climatiques bien différentes :

La France d’en haut et celle du pourtour méditerranéen,

(la bande de soleil dans le sud sur les cartes météos)

En effet 2 produits de notre nourriture habituelle posent problèmes.

L’huile d’olive considérée comme digeste et anti cholestérol l’orange et les agrumes que l’on assimile à des fruits d’hiver.

Hors l’huile d’olive consommée quotidiennement n’est véritablement digeste que pour les individus originaires du pourtour méditerranéen et qui ont développés des enzymes de digestion au fil des générations.

L’huile d’olive est une huile à forte teneur en arômes, ce qui lui vaut d’ailleurs sa renommée.

La partie nord de la France peut donc la consommer avec modération et la destiner à certains mets spécifiques, sinon la vésicule biliaire et le pancréas deviennent susceptibles voir irascibles.

 

Les agrumes et en particulier l’orange ne sont pas des fruits d’hiver pour la France du nord.

Ce sont des fruits acides, gorgés de vitamine C ou acide ascorbique qui se transforme en oxalate au niveau du rein. L’acide oxalique étant le plus grand pourvoyeur de coliques néphrétiques.

 

En hiver, l’organisme à besoin de nourritures sèches et de boissons chaudes, hors l’orange et les agrumes sont tout l’inverse. Ce sont des fruits d’été des pays chauds remplie d’eau.

 

Nos ancêtres connaissaient bien ce problème et les fruits d’hiver étaient, la châtaigne, les noix, les noisettes, les amandes et les fruits secs comme la pomme, les raisins, les pruneaux, les abricots etc.

L’orange et les agrumes à haute dose  peuvent devenir toxiques chez les individus sensibles de l’arbre urinaire.

Avril 2010
Avril 2010

LE STRESS

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

« Les dégâts

 de l’adrénaline »

 

Le chercheur canadien SELYE invente la notion de « stress » ou « syndrome général d’adaptation » en 1945.

Il définit cet état comme « une réponse  non spécifique de l’organisme a toute sollicitation ».

 

La définition  médicale est plus précise : C’est un état où la tension musculaire, la tension artérielle, le rythme cardiaque et la sécrétion de cortisol et d’adrénaline augmente sans effort physique.

 

D’un point de vue psychologique, ce stress se définit comme étant ce que nous ressentons quand les demandes qui nous sont imposées excèdent les capacités à faire face.

 

 

Il existe 2 types de stress :

Le stress aigu mis en œuvre dès que l’alarme d’un danger apparaît et qui déclenche une série de réponses hormonales et métaboliques telle que l’augmentation  de production d’adrénaline qui permet une conduite d’évitement rapide face au danger.

 

Le stress chronique qui nous intéresse en particulier car cet état va être à l’origine d’une cascade d’évènements biochimiques qui vont provoquer ou amplifier un certain nombre de pathologies.

Deux hormones vont être mises en jeu : l’adrénaline et la cortisone

D’une part l’adrénaline va stimuler un certain nombre d’organes qui à long terme sous cette pression vont fatiguer et risque de déclencher des pathologies (cœur, reins, thyroïde, glandes surrénales, artères, etc..).

D’autre part la cortisone qui provoque à long terme l’atrophie osseuse, diminue l’absorption intestinale du calcium et semble être impliquée dans le vieillissement cérébral et la dégénérescence cellulaire des neurones.

 

Le stress, si à petite dose, il stimule le système immunitaire et a une action antiallergique, point trop n’en faut, car au-delà d’un certain seuil, bonjour les dégâts !

 

Mars 2010
Mars 2010

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L'énurésie nocturne chez l'enfant

 

Le contrôle théorique de la vessie se fait vers 5ans pour les filles et 6 ans pour les garçons.

Il y a 2 sortes d'énurésie, l'une primaire lorsque l'enfant n'a jamais été propre, l'autre secondaire si il y a eu une période de propreté d'au moins 6 mois.

 

Les causes sont :

 

1° - Les problèmes psychologiques : Conflits parentaux, divorces, chocs psycho-émotionels ou affectifs.

 

2° - Les problèmes génétiques (Ex: Anomalie de l'urètre)

 

3° - Les problèmes neurologiques : Retard de maturation de contrôle par le système nerveux végétatif.

Instabilité du muscle détrusor.

 

4° - Les problèmes infectieux : Cystites, infections urinaires.

 

L'innervation vésicale est triple:

 

1° - L'innervation parasympathique responsable de la miction

 

2° - L'innervation orthosympathique responsable de la continence

 

3° - L'innervation sommatique

 

L'innervation vésicale utilise l'acétyl-choline comme médiateur .

 

Les traitement médicamenteux

 

Ils ont tous l'inconvénient de provoquer des effets secondaires

 

Commentaires :

 

L'énurésie secondaire semble plus simple à régler.

Elle permet d'éliminer les problèmes génétiques et les retard de maturation du système nerveux végétatif.

 

L'énurésie primaire est plus complexe et va demander de tester plusieurs domaines tels que les chocs psycho-émotionnels, les problèmes d'infections, les problèmes neurologiques et toute la partie digestive car certaines énurésies sont associées à de la constipation.

Les tests de la désengrammation permettent  de naviguer dans ces systèmes complexes et de cerner les pistes à explorer pour tenter de guérir cet inconvénient qui perturbe de façon importante la vie sociale de l'enfant.

 

Février 2010
Février 2010

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’aromatase :

C’est une enzyme impliquée dans le métabolisme des hormones stéroïdiennes, à partir du cholestérol. Elle est présente en grande quantité dans les surrénales, dans les ovaires, et probablement dans d'autres tissus, comme le tissu mammaire. 
Avant la ménopause

L'aromatase ovarienne joue un rôle beaucoup plus important pour la fabrication des œstrogènes que l'aromatase surrénalienne.
L'ovaire, en tant que glande endocrine, peut être considéré comme ayant deux compartiments :

  • Le compartiment interstitiel ou stromal est soumis à l'action de la LH, et contrôle la production d'andostènedione
  • Le compartiment thécal qui comprend les cellules de la granulosa, est sous l'influence de la FSH, qui régule la quantité d'aromatase présente, nécessaire à la fabrication d'œstrone et d'œstradiol.

La quantité d'aromatase présente au moment de l'ovulation est 8 à 10 fois plus importante qu'au moment des règles.
Après la ménopause
Les androgènes d'origine surrénalienne (andostènedione et testostérone) sont convertis en œstrogènes par l'aromatase présente dans le foie, le muscle, les follicules pileux, le tissu adipeux et les cellules tumorales

Janvier 2010
Janvier 2010

 

Les

 

 neuropathologies

 

              anxieuses 

 

- Anxiété chronique et anxiété aiguë (angoisse)

- Prédisposition génétique

 

Structures cérébrales impliquées : cortex-système limbique-formation réticulée- locus coéruléus- noyaux du raphé- hypothalamus.

 

Neurotransmetteurs impliqués : sérotonine(5HT)- noradrénaline (NA)-cholescystokinine 4(CCK)-acide gamma amino-butyrique(GABA)-neuropeptide Y- cortico realising hormone(CRH)

 

Différents troubles anxieux

1°- Syndrome post-traumatique

2°- Trouble panique

3°- trouble obsessionnel compulsif (TOC)

4°- Phobies

5°- Anxiété généralisée

6°- Hypocondrie

7°- Hystérie

 

1° - Syndrome post traumatique

Causes : violents traumatismes psycho-émotionnel ou physique

Facteurs d’aggravations : les excitants, drogue, fatigue, stress.

 

Neurobiologie :

Structures impliquées :

- Système limbique (hémisphère droit)

- Locus coeruleus

- Cortex sensoriel

Neurotransmetteurs :

- Hyperactivité de la noradrénaline

- Augmentation  sérotonine

- Diminution morphine endogène

- Hyperthyroïdie

- Axe du système neurovégétatif orthosympathique/médullo surrénale (noradrénaline & adrénaline augmenté en périphérie)

- Hyperactivité  noradrénergique dans le système nerveux central et système nerveux périphérique. 

 

http://schwann.free.fr/anxiete.html

 

Décembre 2009
Décembre 2009

 

Vaccin

 

   H1 N1

 

J’ai de plus en plus de patients qui me demandent

« Que pensez-vous du vaccin H1 N1 ? »         

        « Dois-je me faire vacciner ? »

 

Voici les spécificités du vaccin :

 

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

Pandemrix suspension et émulsion pour émulsion injectable

Vaccin grippal pandémique (H1N1)v (virion fragmenté, inactivé, avec adjuvant)

 

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Après mélange, 1 dose (0,5 ml) contient :

Virus de la grippe fragmenté inactivé, contenant un antigène* analogue à :

A/California/7/2009 (H1N1)v-souche analogue (X-179A) 3,75 microgrammes**

* cultivé sur oeufs

** hémagglutinine

Ce vaccin est conforme aux recommandations de l’OMS et à la décision de l’Union Européenne en cas

de pandémie.

L’adjuvant AS03 est composé de squalène (10,69 milligrammes), de DL-α-tocophérol

(11,86 milligrammes) et de polysorbate 80 (4,86 milligrammes)

La suspension et l’émulsion une fois mélangés forment un vaccin multidose en flacon. Voir rubrique

6.5 pour le nombre de doses par flacon.

Excipients : le vaccin contient 5 microgrammes de thiomersal.

 

www.emea.europa.eu/humandocs/PDFs/EPAR/pandemrix/emea-combined-h832fr.pdf -

 

Quelques éclaircissements sur les excipients :

 

….En fait, le thiomersal, conservateur de certains vaccins, ne contient pas du méthyl-mercure mais de l'éthyl-mercure….

 

….Les profils pharmacocinétiques de l’éthyl-mercure et du méthyl-mercure sont différents : la demi-vie de l’éthyl-mercure est plus courte (moins d’une semaine) que celle du méthyl-mercure (1,5 mois), la présence de l’éthyl-mercure dans le sang est donc de courte durée. De plus, l’éthyl-mercure est éliminé par le tube digestif mais le méthyl-mercure s’accumule dans l’organisme…….

 

http://www.santelog.com/modules/connaissances/actualite-sante-vaccin-anti-ah1n1-ethyl-mercure-et-thiomersal-quelle-toxicit%C3%A9-_1688.htm

 

 

Quelques commentaires sur ce vaccin :

 

Tout d’abord, ce vaccin aurait dû être l’apanage des médecins généralistes dans leur cabinet, en toute connaissance de leur patientel.

Et non pas cette vaccination de masse qui ne prends en compte aucune spécificité du patient.

Comme pour tous les autres vaccins, la toxine elle-même est sans danger, seul posent  problèmes dans certains cas, les adjuvants, les excipients et la base sur laquelle le vaccin à  été cultivé.  

Dans le cas présent, nous voyons que le vaccin a été cultivé sur de l’œuf donc il peut se révéler  allergène à ce niveau.

L’excipient conservateur est le thiomersal produit dérivé du mercure qui lui aussi peut être un dangereux allergène, même si la demi-vie du produit dans le sang est d'une semaine ce qui est largement suffisant pour créer une grosse réaction.

Pour ceux qui devraient faire l’objet éventuellement d’une vaccination (sujet sensible pulmonaire, âgé ou enfant) il serait donc intéressant de tester le vaccin et de le désengrammer si nécessaire, ce qui éviterait les  effets secondaires que l’on peut craindre à la suite de vaccination.  

Si  le vaccin n’a pas été testé avant l’injection, on peut le faire après et désengrammé si nécessaire.

 

 

 

Novembre 2009
Novembre 2009

 

 

Les dents

 

    de 

        l’amer  

 

 

Cas d’allergie  très particulier !!!

 

J’ai reçu une patiente, infirmière de son état qui sortait d’un véritable cauchemar lié à une allergie……… dû à un appareil dentaire provisoire en plastique.

A la suite du port  de cette prothèse, une cohorte de symptômes s’est abattue sur cette personne :

Nausées, fatigues, douleurs osseuses, céphalées, chute de cheveux, sécheresse cutanées puis au fil des mois, problèmes respiratoire, vertiges, fausse route pendant le sommeil, etc.…

Tout ceci pourrait ressembler à des problèmes psychosomatiques si les examens de laboratoire demandés par les médecins du centre hospitalier où travaillait cette patiente montraient une véritable désorganisation sanguine avec atteinte aux niveaux globulaires, hémoglobine, vitesse de sédimentation, clairance de la créatinine, sang de plus en plus noir aux prélèvements avec coagulation très rapide, ecchymoses persistantes aux points de ponctions et présence d’une immunoglobuline monoclonale, avec évolution vers un empoisonnement du sang, le tout sur un fond de fatigue intense.

La patiente évoquait la possibilité d’une allergie à sa prothèse dentaire, celle-ci  ayant été admise par la communauté médicale, la prothèse fût remplacée par un matériau plus conventionnel.

Aussitôt les symptômes disparurent et les paramètres biologiques retrouvèrent leurs normalités.

 

Dans ce cas clinique, je n’ai eu qu’à désengrammer l’appareil dentaire dont l’aspect allergène était en relation avec une chute de vélo à l’âge de 8 ans et  fracture de dents.

Les derniers symptômes ont disparus en une dizaine de jours.

 

Attention l’organisme est capable d’aller très loin dans son système d’adaptation à l’intrusion d’un produit toxique, il peut se détruire lui-même par excès de précaution.

 

Octobre 2009 - Fibromyalgie & Désengrammation

- Près de 3 millions de français souffriraient de cette maladie.

- 64 % des personnes myalgiques présentent des intolérances aux produits chimiques.

- Prévalence chez la femme de 3,4% et de 0,5% chez l’homme.

Cette maladie à symptômes polymorphiques se traduit surtout par de la douleur et de la dépression à laquelle s’ajoute une fatigue chronique.

L’ensemble des symptômes ressemble fort une intoxication par une drogue tant le syndrome est complexe.

- Une déficience des neurotransmetteurs telle que la substance P est évoquée.

- Il existe également une composante psychosomatique évidente.

- Un seuil de perception de la douleur plus bas en fait une maladie de l’hypersensibilité.

Fin 2008, une équipe de chercheurs a identifier une anomalie au niveau de la circulation du sang dans le cerveau des fribromyalgiques.

Enfin des dégradations de la posture par dysfonctions de l’articulation temporo-mandibulaire pourraient jouer un rôle étiologique dans la forme de fatigue chronique.

 

Beaucoup d’éléments de la pathogénie sont accessibles à la désengrammation et j’ai commencé à étudier le phénomène chez mes patients.

 

Amis Désengrammeuses &  Désengrammeurs, au travail !!!

C’est un sujet de prédilection pour nous avec les neurotransmetteurs, le cerveau primaire, le liquide céphalo-rachidien, la désengrammation psycho-émotionnelle, la recherche des traumatismes de tous poils, les produits chimiques allergènes, etc.…

 

A bientôt pour les premiers résultats !!!...

 

Septembre 2009
Septembre 2009

 

Tiré par les cheveux…

 

Il y a beaucoup d'hommes qui perdent  leurs cheveux et on voit ce phénomène de plus en plus fréquemment chez les femmes.

Le test des cheveux nous permet d'une part de débusquer les produits toxiques externes qui deviennent intolérant pour la personne tels que les colorations, les shampooings, les laques, les gels etc.… mais il y a  aussi les toxiques internes qui peuvent provenir de l’alimentation, de l’intoxication du corps ou de problèmes hormonaux. La désengrammation donne en général de bons résultats dans la chute des cheveux.

Le cheveu  va être le réceptacle de toute cette toxémie. C’est pourquoi l’analyse des cheveux  permet d’en mesurer la valeur.

Un autre élément est à prendre en considération lorsque l’on veut traiter la chute chez l’homme et chez la femme, c’est l’hérédité. Il faudra donc tester le cheveu, l’ADN et l’ARN en particulier  chez l’homme et désengrammer si nécessaire.

J’ai trouvé dernièrement un test homéopathique qui s’appelle  « zone pileuse crânienne » et qui permet de tester la qualité du cuir chevelu. J’ai donc testé ce produit homéopathique sur une jeune patiente qui perdait ses cheveux depuis un certain temps sans causes apparentes ni de toxémie ni d’hérédité.

En l’interrogeant, il s’est avéré qu’elle avait subi un traumatisme  crânien datant d’environ 4 ans que j’ai désengrammé et qui a libérer cette « zone pileuse crânienne ».

Voilà donc un élément nouveau à tester dans toutes les pathologies du cuir chevelu.

Un blocage énergétique va créer une zone de métabolisme dégradé avec mauvaise circulation sanguine, des perturbations au niveau cellulaire et donc apparition de pathologies cutanées :

- Chute de cheveux

- Cheveux de mauvaise qualité

- pellicules, psoriasis, eczéma, verrues, kystes etc.…

C’est une piste à suivre et elle n’est pas tirée par les cheveux !!!

 

Août 2009
Août 2009

LA DESENGRAMMATION ET L'EMDR

L'EMDR ou Eye Movement Desensitization and Reprocessing ouMouvement des yeux, désensibilisation et retraitement est une thérapie alternative aux traitements du stress post-traumatique.

 

Cette thérapie à été mise au point en 1980 par une américaine, Francine Shapiro psychothérapeute, qui atteinte d'un cancer découvre que des mouvements oculaires sont bénéfiques à son état psychologique. Elle publie deux ans après un article sur cette pratique, dépose le nom de "EMDR" et crée un institut. En France David Servan-Schreiber reprend le flambeau à son compte et organise la section France de l'EMDR.

 

Alors quel est le grand principe de l'EMDR?

 

Pour expliquer cela, je vais reprendre mon vocabulaire. Chez une personne qui a subit un « bug » psycho-émotionnel ou traumatisme psychologique, le traitement va consister à lui faire revivre mentalement son traumatisme pendant la séance alors que le thérapeute va lui demander en même temps de suivre avec les yeux son doigt ou tout autre objet en parcourant une trajectoire latérale droite-gauche et gauche-droite.

C'est ce protocole qui va apporter le soulagement  aux manifestations post-traumatiques du patient.

 

Nous connaissons très bien nous les ostéopathes crâniens l'action des yeux sur la première cervicale (atlas) via les membranes de tensions réciproques. Cette vertèbre suit la trajectoire de l'œil avec un petit temps de latence. Cette spécificité peut même nous permettre de corriger cette vertèbre par rapport à l’occiput avec des techniques fonctionnelles aidées de la respiration.

 

Maintenant quel est l’effet de la mobilisation des yeux  sur le crâne lui-même ? Et bien il suffit de tester et nous découvrons que le fait d’induire un aller et retour de droite à gauche ou de gauche à droite aux yeux, entraine un mouvement de latéralité au niveau crânien, une sorte de Side Bending Rotation droite-gauche gauche-droite.

Ce qui corroborerait l'efficacité des mouvements oculaires ou des stimulations sensorielles bilatérales alternées reposant sur le modèle neurologique dans lequel l'activation alternée des hémisphères cérébraux  faciliterait un travail de reconnexion de modules de traitement de l'information (émotionnels, mnésiques, comportementaux) dissociés par le traumatisme. 

 

Tout cela va jusqu’à présent dans le sens de la désengrammation ostéopathique énergétique mais il y a un premier « hic ».En effet pour  que la technique soit efficace il faut que le cerveau soit fixé sur le problème à traiter, hors il est difficile à la fois de fixer son attention sur une évocation ou une visualisation mentale et de suivre avec les yeux un élément dans l’espace.

 

Deuxième « hic » : le praticien dans l’EMDR n’a strictement aucun contrôle de la procédure de désengrammation. Celle-ci peut être courte ou très longue, elle peut ne pas être nécessaire, elle peut être liée à un autre  élément qui en fait une double engrammation et qui demande d’introduire simultanément une deuxième clé, elle peut être interdite par le cerveau primaire car l’intensité du « bug » est trop importante (il faudra dans ce cas soit attendre, soit libérer d’autres blocages moins importants pour rehausser le niveau énergétique du patient).

 

L’ostéopathe désengrammeur possède,  grâce à sa perception des différents mouvements crâniens, l’entière maîtrise des réactions du cerveau primaire.

 

Et enfin le troisième « hic » est que le fait d’entrainer les yeux dans un mouvement de latéralité donc de transmettre ce mouvement aux membranes crâniennes est un acte volontaire alors que la désengrammation est une procédure inhérente à l’homéostasie donc totalement involontaire et  déclenchée uniquement au niveau du cerveau primaire.

 

 

En conclusion :

Même si on note des améliorations sensibles à la suite des traitements par l’EMDR, ce qui est possible mais aléatoire, il sera de toute façon difficile d’en évaluer l’efficacité et la réalité thérapeutique par manque d’éléments contrôlables et spécifiques au niveau du déroulement de la technique.

 

A contrario, la procédure de désengrammation ostéopathique énergétique  est mathématiquement contrôlable jusqu'à la fin du traitement.

Avec une évaluation de l’importance du « bug » par une échelle numérique mis en corrélation avec le comptage de la procédure de désengrammation, on peut faire aboutir une étude d’un niveau scientifique satisfaisant sachant que chaque sujet a une valeur d’engrammation différente et individuelle.

 

LA BOUFFE

Juillet 2009
Juillet 2009

Notre société d’hyperconsommation est un environnement dangereux pour notre organisme.

En effet, autant nos ancêtres devaient rechercher leur nourriture comme les animaux ou bien travailler la terre ou garder le bétail pour manger, autant dans les pays industrialisés et riches la nourriture vient à nous sous des formes de plus en plus attrayantes. Cette nourriture, depuis quelques années s’enrichit même d’éléments réputés indispensables (calcium, vitamines, oligoéléments, oméga3, etc.). Mise sur le marché par les entreprises agro-alimentaires à grand renfort de communiqués pseudo scientifiques, l’information se trouve relayée par le corps médical qui la justifie au nom de la santé et de la prophylaxie des maladies.

Ces parades nutritionnelles ont pour but de stimuler l’un des 2 grands systèmes physiologiques « d’action opposée » qui est le « circuit de récompense » ou de « renforcement positif », l’autre étant le « système de punition ».Ces systèmes prennent leur source au niveau de l’hypothalamus, du rhinencéphale et du mésencéphale.

Le circuit de récompense de déclenche et s’entretient avec ce qui est bon au goût ou à la sensation. La nourriture est naturellement l’élément de prédilection pour mettre en œuvre ce système, mais l’hyperconsommation qui découle de la sommation publicitaire va créer des saturations organiques. On voit par exemple des produits comme le chocolat qui est une friandise mais pas une nourriture, être consommé par plaquettes entières chez certaines personne qui avouent être « droguées » et ne plus pouvoir se retenir d’en consommer.

 

                                                           A suivre...

 


LA DESENGRAMMATION
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